vendredi 24 septembre 2010

Dimanche 26 septembre : LES VIRADES DE L'ESPOIR

 Pour vaincre la mucoviscidose

Les Virades de l'espoir pour vaincre la mucoviscidose . Dimanche 26 septembre dans toute la France. Cliquez ici
Pour les Virades de l'Espoir en Ardèche 

de 9h00 à 19h00 à Vals les Bains
où ce sera la 22ème édition

ou

de 9h00 à 17h00 à Villeneuve de Berg  
qui participera pour la première fois aux Virades 
dans le cadre de la Foire de la Saint-Michel. 

Venez nombreux vous amuser, vous restaurer, 
marcher, pédaler, participer à la tombola ...

ensemble pour vaincre la mucoviscidose.

Voir le programme ci-dessous.


Vous pouvez également faire un don en ligne en cliquant sur les bannières en haut et en bas de cette page. Elles vous amèneront  au site sécurisé de l'association "Vaincre la Mucoviscidose".
Vous y trouverez également plein d'informations sur la maladie, le bénévolat et des témoignages de patients.






Les Virades de l'espoir pour Vaincre la Mucoviscidose . Dimanche 26 septembre dans toute la France. Cliquez ici

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mercredi 8 septembre 2010

Le TCFIA : 3e étape Vals les Bains / Le Teil


Gros cafouillage !


L'Arrêté Municipal Temporaire que tous les Valsois avaient trouvé dans leur boîte à lettres il y a quelques jours annonçait clairement que le départ de la 3ème étape Vals / Le Teil aurait lieu place de la Mairie à 15h30.


Manque de bol, il eut lieu en réalité à 15h00 ! Quand je suis arrivée devant la Mairie, alors que je me croyais en avance, je n'ai eu le droit qu'au spectacle affligeant du cul des voitures des directeurs sportifs, imbriquées dans des voitures particulières impatientes, belle pagaïe qui obstruait la rue Jean Jaurès sur une bonne moitié de sa longueur.
On avait visiblement oublié de condamner la rue à la circulation !!


Le public, restreint il faut bien le dire, qui s'agglutinait sur le pont de la Mairie attendait le deuxième passage des coureuses, également annoncé sur ledit Arrêté Municipal.
Des photographes, amateurs et professionnels, s'étaient agglutinés au débouché de la rue Jean Jaurès sur la place, attendant de pouvoir saisir l'arrivée du peloton avant son passage sur le pont.


Au bout d'un bon quart d'heure, tout le monde commençait à penser - le plus souvent à voix haute - que, décidément, c'était pas des vraies championnes pour mettre autant de temps pour remonter le bd de Vernon et la rue Jean Jaurès.


Soudain, il y eut un frémissement, non pas que le peloton arrivât, non pas du tout. 
Ce qui arrivait n'était même plus une rumeur, mais une triste réalité. Les filles nous avaient faussé compagnie, dédaignant leur public de Vals et embrayant direct pour le Teil. 

Même les bénévoles qui assuraient la sécurité de la course étaient stupéfaits et avaient peine à y croire.


Je veux bien admettre que ce public n'était pas nombreux, mais un public, ça se respecte ! Vals ne leur a pas plus ? Les a-t-on mal accueillies ? Est-ce un couac des organisateurs, de la Mairie ?

Je ne sais. Ce que je sais, c'est que nous étions déçus.

Tout ça pour ça ?
Une question que je me pose : La municipalité (donc nous) doit-elle payer pour accueillir l'étape, comme il est de rigueur sur le Tour de France ? Si tel est le cas, elle a le droit de crier : "Remboursez !".

La prochaine fois, ils nous respecteront peut-être ...




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Aujourd'hui :



Bonne lecture !
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 Alerte rouge : du vert dans la Volane




Dans la photo ci-dessus, n'y a-t-il pas quelque chose qui attire votre attention, 
 un détail qui vous frappe ?

Regardez bien ; comparez avec la photo de l'en-tête qui illustre toutes les pages de ce blog. C'est bien le même angle, le même point de vue, cependant ...

Une île aurait-elle jailli des abysses ? Nous ne sommes pourtant pas en Islande et nos volcans sommeillent.

Non, c'est le résultat concret de l'alerte rouge qui a frappé l'Ardèche ces dernières vingt-quatre heures. Un arbre de la rive gauche de la Volane s'est noyé cette nuit, arrachant dans sa mort toute la terre et la végétation de la berge.
Le voici quasi immergé, obstruant pour moitié le flot de la Volane gonflée par les pluies torrentielles et offrant aux canards éberlués de nouveaux abris feuillus.

Pourvu qu'il ne provoque pas d'inondations en amont. On imagine sans peine les difficultés auxquelles vont être confrontés les Services Techniques pour dégager la grande carcasse agonisante.

Pour mémoire, c'est à la hauteur de cet arbre qu'avait eu lieu il y a près de deux ans un accident de voiture qui avait brisé les garde-fous et projeté sur la berge de lourds matériaux. Peut-être cela l'avait-il fragilisé.

Adieu, l'Arbre !






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 Le Tour Cycliste Féminin International 
de l'Ardèche (TCFIA) à Vals les Bains

2e étape - Vals-les-Bains/Vals-les-Bains - Contre la montre


Le piège du Voltour
Ce matin mercredi 8 septembre, à 8h45, départ de la course contre la montre place 
de la Mairie.

Dès 7h, on y a vu des fourmis - pour la plupart bénévoles - s'activer pour tout mettre en place.

Après une nuit rouge comme l'alerte météo, vigoureusement zébrée par la colère de Zeus et copieusement noyée sous des flots ininterrompus, célestes et fluviaux, le parcours promettait bien des pièges. L'un des plus dangereux était certainement le virage au pied de la rue du Voltour, en épingle à cheveux et déjà glissant à l'état naturel, qui propulsait les coureuses façon fusées dans la rue Jean Jaurès. Il y eut d'ailleurs au moins une chute, heureusement bénigne puisque la jeune femme put réenfourcher sa bécane. Les commissaires criaient à toutes "attention, ça glisse !", mais toutes ne comprenaient pas le français.

De charmants gentilshommes valsois s'étaient réunis en contrebas du piège, m'assurant être prêts à amortir la chute des belles amazones ! Bel élan de galanterie. Toutefois, je pense qu'ils ne réalisaient pas le poids d'un corps projeté à cette vitesse. On peut se demander si cette volonté de participer, digne des principes olympiques coubertinois, serait aussi fervente sur une course masculine.

Je suis admirative du courage de ces femmes. Je regrette que cette course se déroule dans un quasi-anonymat. En effet, je n'ai pas pu savoir le nom des participantes que je voyais débouler devant mon objectif, faute de commentaires. Aucun émule de Daniel Mangeas - la voix du Tour de France - pour nous "expliquer" la course. C'est bien regrettable.

Je n'ai même pas vu d'article consacré ce matin au TCFIA sur le Dauphiné Libéré 

en ligne.

Pour en savoir plus :
Le site officiel du Tour Cycliste Féminin International de l'Ardèche :

http://www.tcfia.com/spip.php?article19
Le site des Courses Féminines Associées :
http://courses.femininesassociees.over-blog.com/








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mardi 22 juin 2010

Ras la Coupe !


Avec l'aimable autorisation de Flock* - Extrait de la Semaine de Flock du 12 juin 2010, publiée, comme chaque semaine, par Clubic.com    Clubic - La Semaine de Flock




Amis de La ValZine,


Je vous laisse consulter vous-mêmes le dictionnaire des synonymes de votre choix pour exprimer votre colère, votre dégoût, votre mépris, ou tout autre sentiment que peut vous inspirer l'ignominieuse prestation des Bleus.


Ce qui me choque par-dessus tout, c'est qu'ils ont osé se comporter de la sorte en Terre Africaine. Là où règnent la faim, la misère la plus absolue et la corruption.
A côté des stades et autres installations, qui grèveront le budget de l'Afrique du Sud pendant des années, évoluent les invisibles, les plus démunis de la terre, ceux à qui la Coupe ne profitera pas. Ceux aussi pour qui le foot est parfois la seule solution, le seul espoir d'une vie meilleure, tout au moins décente.

Si l'âme de Lucy** qui, elle, n'est millionnaire qu'en années, flotte encore au-dessus du continent africain, elle doit enrager de voir le manque total de respect que les Bleus manifestent à l'égard de ses descendants.


A ce que je me suis laissé dire, nos minables starlettes capricieuses et indécentes viennent presque toutes de milieux peu favorisés et le foot a changé leur vie matérielle (toutes proportions gardées, bien sûr, par rapport à l'Afrique). 
Alors, ont-ils perdu la mémoire des temps difficiles ? L'argent leur a-t-il brûlé les neurones au point d'oser se comporter de la sorte devant les foules affamées? 
Sans oublier qu'en France aussi, la misère est présente et que beaucoup comptaient sur eux pour, au moins, passer un bon moment et ensoleiller leur présent. Rappelons-nous l'euphorie de 98. D'un seul coup, la France avait un moral d'acier. Aujourd'hui, elle rase les murs !


J'ajouterais aussi la nuisance incontestable et désastreuse que constitue leur comportement pour l'image de la France à l'international. 
Tous ceux qui, comme moi, travaillent essentiellement avec les pays étrangers, dans l'Union Européenne comme en-dehors de celle-ci, peuvent déjà en apprécier les conséquences négatives. Le professionnalisme, la rigueur des Français sont mis en doute, y compris par des responsables très sérieux. Nous sommes la risée du monde et cette étiquette d'imbéciles perturbateurs et arrogants va longtemps nous coller à la peau et il nous faudra déployer de sacrés efforts pour lever les réticences inconscientes de nos interlocuteurs internationaux.


Vraiment, j'en ai ras la Coupe, ras les Bleus !


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* Flock est un génial manieur de crayon, capable tout à la fois d'acidité et de tendresse, 
qui sait nous regarder avec le troisième oeil de l'humour.
Son blog vaut - vraiment - le détour : Flock - Dessincretin.com


** Lucy, longtemps considérée comme l'ancêtre de l'humanité, a été découverte en Ethiopie en 1974. Voir Lucy sur Wikipédia







lundi 15 mars 2010

SALUT, FERRAT

Demain, 16 mars, toute l'Ardèche lui offrira 
un dernier grand coup de soleil.


Alors, accompagnons-le dans son envol, à notre façon. 


(ne vous impatientez pas si vous voyez un écran noir, le démarrage de certaines vidéos peut être un petit peu long)

Retrouvons Jean Ferrat dans son jardin d'Antraïgues, en compagnie de Bernard Pivot.
(diffusé par Antenne 2, le 2 novembre 1985)

retrouver ce média sur www.ina.fr


A table chez lui, le même jour, avec Bernard Pivot, 
ou "De la politique et du saucisson"

retrouver ce média sur www.ina.fr


Et le 16 mars 1969, il y aura très exactement 41 ans lorsque nous lui dirons adieu, à l'heure près, 3 géants causent de l'engagement dans "L'Invité du Dimanche" :  
Chabrol, Brassens, Ferrat

retrouver ce média sur www.ina.fr



Le poète aura toujours raison.





samedi 13 mars 2010

LE TEMPS D'APPRENDRE A VIVRE IL EST DEJA TROP TARD


Le temps d'apprendre à vivre 
il est déjà trop tard

Que pleurent dans la nuit 
nos coeurs à l'unisson

Ce qu'il faut de malheur 
pour la moindre chanson

Ce qu'il faut de regrets 
pour payer un frisson

Ce qu'il faut de sanglots 
pour un air de guitare

Il n'y a pas d'amour heureux


C'était Aragon, c'était Ferrat. 





Crédit Photo : http://pagesperso-orange.fr/pcf.evry/ferrat.jpg